Date de création : 04.08.2012
Dernière mise à jour :
22.11.2025
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je le veux svp
Par Anonyme, le 05.11.2025
can you make dark afuro with aura bro?
Par Anonyme, le 24.09.2025
ok
Par Anonyme, le 16.09.2025
c cool
Par Anonyme, le 10.09.2025
c'est drole
Par Anonyme, le 08.09.2025
Titre: Dandelion
Auteur: Lily Sawaka
Nombre total de mots: 31.950
Notions à avertir le lecteur: Drame - Romance - contenue à caractère sexuel - relation toxique
Note de l'auteur: Reader est féminin.
Yo! Ici votre autrice qui revient après longtemps pour cette année 2022. Je vous ais manqué?
Cette commande m'a été faite par quelqu'un qui voulait un même genre que "Pervert! Sasuke x Reader (+18)". J'ai essayé. Hein. Il y a des trucs qui ressembleront. Et très sincèrement, même si ça m'a été demandé, ben Shikamaru est moins pervers que prévu, compte rendu du contexte assez sombre que j'ai fait.. Du moins, il peut mater mais j'ai veillé à garder son caractère d'origine. Je me suis replongé dans l'univers Naruto et j'ai eu un immense coup de coeur pour Shikamaru Nara, à un point bah, ça y est, j'ai eu un kiff pour lui, mdrr. J'avais carte blanche aussi pour cet OS. ALORS. Soyons clair; il va avoir des sujets sensibles notamment sur la relation toxique. L'héroïne en a subit. J'avais été motivé pour en écrire. Ce n'est jamais simple d'en sortir et d'aller de l'avant. Il existe différent genre de relation toxique et j'en ai choisis un. J'en ai vécu et vu. Je voulais au moins transmettre un petit "triggered" pour ça puisque ben, c'est dur. De se reconstruire en tant que victime et tout.
Comme pour l'autre, c'est un univers alternatif. Tout les personnages sont en université et ont plus de dix-huit ans. J'ai modelé à ma manière, tout en suivant la série originale (donc j'ai modifié des éléments!). Dîtes vous que ici, ce ne sont pas des ninjas mais de futurs soldats (style militaire, garde du corps, ...). Que dire de plus mis à part que je crois que c'est le PLUS LONG OS que j'ai écrit (et que c'est pas un Two Shot). XD Que ben désolé pour le long retard, mais je réécris entièrement ma fanfic MHA: The True Hero. Je veux me focaliser sur ce qui me donne envie. Voilà. Ah et cet OS est écrit au premier point de vue, histoire de changer mes habitudes! J'espère que j'ai progressé un peu par rapport à l'année 2021 et je pense que je reviendrais sur ce livre avec les réponses de FAQ très bientôt.
...Ah et flemme de me relire, mais entièrement. Désoulééé. Si y a des audacieux(ses) qui me corrigent, merci! :')
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Dandelion
Partie 1/6
Cette chaleur que dégageait le soleil me fit du plus grand bien en cette saison proche de l'été. Il n'y avait pas de vent et le ciel était totalement dépourvu de nuage, laissant les rayons du soleil s'abattre sur tout le campus. Après ces longues semaines de mauvais temps et que le froid ait rajouté sa couche, le moindre changement redonnait le sourire. Je me permettais de me bronzer un peu, de me relaxer sur le gazon. Mon sac bandoulière sur ma tête me servait de oreiller. J'avais mes écouteurs Ipod aux oreilles, le Bluetooth activé. Mes jambes étaient croisées et je me relaxais en écoutant ma playlist du jour.
Enfin, je pouvais retirer mon pull ou ma veste ! C'était si bon ! Tout mes tracas s'envolaient, mes paupières furent closes et je respirais l'air pur, m'abandonnant au calme et à la sérénité. Les minutes défilaient et mes muscles se décontractèrent. Je me sentirais presque incapable de me relever.
Des gloussements parvenaient à mes oreilles, bien que mes tympans soient occupés par ma musique préférée, je ne pouvais visiblement pas ignorer l'ambiance autour de moi. Je finis par entrouvrir mes yeux, agacée. Mes iris (c/y) se dirigèrent vers ma camarade de classe qui me faisait de l'ombre en se penchant au-dessus de moi, avec un sourire espiègle. De longs cheveux blonds détachés fouettaient l'air et une mèche cachait l'oeil droit de cette jeune femme qui avait plus que un style très féminin.
Ino Yamanaka. Une amie proche de moi, que j'ai connu au jardin d'enfant. Une fille populaire, chic et intelligente. En plus d'avoir un physique de top modèle, elle fait du charme à tout beaux gosses du campus. En dépit de sa beauté, elle peut s'avérer stupide, surtout quand elle se fritte parfois avec l'une de ses rivales et amie, Sakura Haruno. D'ailleurs, en parlant d'elle, notre intéressée s'approchait de nous, avec un sourire heureux. Je plissais mes yeux et me redressais sur les coudes, retirais mes écouteurs, toute à l'écoute.
— Hé, tu fais une petite sieste, (T/P) ? Me taquina Ino. On sort à peine de la restauration que tu roupilles !
— Je me bronze. Puis j'ai déjà fini de manger.
— Ce serait bien que tu manges avec nous, un peu ! Bougonna alors la blonde en plaçant ses mains sur ses hanches, à croire qu'elle aimait me gronder.
Je roulais des yeux, pas affecté.
— Combien de fois dois-je te le répéter ? J'aime pas la bouffe là-bas ! Je préfère ramener mon panier repas !
— Sérieux, comment tu vas faire en hiver ? Tu ne mange que froid !
— S'il faut que je ramène un micro-onde pour pas faire de file d'attente, je suis capable. Je lui souriais, sérieuse.
Mon amie soupirait, exaspérée. Sakura riait gentiment à coté d'elle et fit un signe distinctif, invitant les autres à nous rejoindre. Je pivotais ma tête et aperçu Hinata et Tenten. Intérieurement je soupirais, peiné de devoir sacrifier mon moment de solitude et de tranquillité avec mes camarades de classe, qui vont bavarder entre elles. Têtue comme j'étais, je remis mes écouteurs sans fil à mes oreilles et me recouchais sur mon sac, ignorant les regards ahuris de mes camarades de classe.
— Dîtes... vous êtes sûres que on ne va pas gêner (T/P) ? Questionna Hinata, timidement, en me fixant.
— Mais non ! Elle adooore quand on est là. On est indispensable !
Ino s'écarta. Je me pris le soleil en pleine tronche et je grognais aussitôt. Je retirais mon écouteur de mon oreille droite et lui lançait un doigt d'honneur.
— Indispensable ?! Mon cul ! Gueulais-je. Redescends de ton piédestal ma sœur !
— Regardez-moi ça, notre chère (T/P) est de mauvais poil ! On t'aime aussi ! Ricana mon amie, l'air satisfaite.
— Si tu veux que je t'aime de nouveau, fais-moi le plaisir, remet moi de l'ombre, tu me seras d'une utilité indispensable !
Elle se crispa. Son sourire se dégradait sous l'irritation de ma vulgarité. Ino croisa ses bras au niveau de sa poitrine et me lança un regard noir. Sa voix qui était toute euphorique, devint plus grave.
— Hé ! Je ne suis pas ton parasol, le sanglier !
— A ce que je sache, je ne suis pas un sanglier. Ou peut-être tu es jalouse de ma force brute ? Mais quel compliment tu me fais ! Je me sens émue ! J'exagérais avec une voix enfantine.
— Va te faire ! Me cria mon amie en levant son majeur à son tour.
Nous avions une relation pleine de douceur. On aime se provoquer et bien sûr, on se le dit en face et jamais derrière le dos. À vrai dire, on se tolère et on accepte les défauts de l'autre. Aucune hypocrisie n'est autorisé entre nous. La blonde et moi on se sourit après notre petite dispute et je la laissais s'asseoir pas loin de moi avec les autres. Hinata, sur ma gauche, n'était pas comme les autres assisse en tailleur. Non, elle, était en position seiza. La noiraude sortait un cahier et révisait. Ses yeux blancs étaient plongés dans sa lecture et je la laissait faire ce qu'elle voulait. Clairement, dans la classe, Hinata Hyuga faisait partie des personnes les plus intelligentes de l'université Konoha. Sauf que moi, je savais qu'elle avait une famille stricte et exigeante.
Jusqu'à aujourd'hui, je ne l'ai jamais vu se plaindre de quoi que ce soit. Une véritable princesse de son clan, douce, belle et intelligente. Avant que je ne la connaisse ici, on m'avait dit qu'elle était super réservée et manquait cruellement de confiance en elle. Et que sa relation avec son genre de cousin ou frère, Neiji, était sacrément mauvaise. Ce n'était plus le cas ici. Hinata levait ses yeux et me décrochait un petit sourire. Elle est super adorable. Sakura lâcha un cri et je sursautais avec la noiraude pour la regarder. Notre amie aux courts cheveux roses tremblait et eut des yeux ronds en tenant son portable.
— AHHHHH J'Y CROIS PAS ! VRAIMENT !
— Quoi ? Il se passe quoi ? L'interrogea Ino en haussant un sourcil.
— SASUKE A LIKE MA PHOTO DE PROFIL !!!
— QUOI ? MONTRE !
Je grimaçais avec Tenten en restant en retrait. Ino se mit à hurler et à se coller à sa meilleure amie et ses yeux furent exorbités. Toutes deux agissaient comme deux collégiennes qui s'excitaient pour un rien. Elles se mirent à se tortiller ensemble. Je soupirais.
— Voilà des chèvres qui braillent quand elles reçoivent de l'affection... Commentais-je.
— Oh bordel, c'est vrai ! Il a like ta photo de toi sous les cerisiers ! S'écria Ino, bluffée. Je te l'ai dit, il doit avoir des vues sur toi !
— T-Tu crois ? Rougit Sakura en passant une main dans ses cheveux. Un petit rire gêné lui échappa.
— Il n'y a pas raison ! Rebondissait la blonde avec sérieux. Elle la prit par les épaules, après m'avoir passé le téléphone de Sakura pour que je puisse regarder avec les autres. Écoute, tu vaux largement mieux que cette pouffiasse de Karin ! Crois-moi si ça se trouve elle est juste un plan cul avec lui !
Pendant ce discours émotif venant de la bouche de sa meilleure amie, qui lui redonnait du courage et surtout, de l'estime de soi, je regardais avec avec Tenten et Hinata la barre des notifications du compte de notre camarade. En effet, il y avait la photo de Sasuke Uchiwa qui avait déposé un like sur la photo de profil. En vérifiant un peu plus, il y était toujours. Je me rappelais que Ino avait eu aussi un crush sur ce dark boy. Avec le temps, ses sentiments se sont tournés sur Saï. Ils ont commencé à sortir ensemble depuis trois mois.
Au fait, je n'ai pas mit d'ambiance. Ça manquait de rebondissement... en tant que chieuse professionnelle, mon devoir m'appelle ! Avec un sourire sadique, j'abusais du portable de Sakura pour envoyer un message direct sur le compte de Sasuke. Mes doigts tapotèrent sur le clavier que affichait l'écran tactile de l'appareil. Tenten scandalisa à coté de moi et ne manqua pas de me dénoncer. La principale victime leva vivement sa tête et écarquilla ses yeux verts et récupéra son bien en m'engueulant. Vite paniquée par mes idées farfelues, elle regarda son écran et de suite, j'explosais de rire.
En effet, je venais d'envoyer des messages direct sur le compte de Sasuke tels que « Héééééé bad boy », « Fais gaffe à ce que tu fais, je te surveille, sinon coup direct du droit, CHAAA ! » puis un smiley de thug. Sakura se raidit et sous l'effet de la colère, il me semblait percevoir ses cheveux flotter, comme si la gravité avait cessé d'exister. La rose se levait et serra son poing gauche, son autre main, maintenait son samsung.
— (T/P) !!! JE VAIS TE TUUUUERR !!!
— Je suis déjà morte d'épuisement. Lâchais-je, nonchalamment. Pas envie de faire cours cet après-midiii-...
Mes joues furent prises en otage. Sakura me les tiraient, comme si celles-ci étaient élastiques et je grognais d'exaspération en fermant mes yeux. La rose n'était pas violente avec moi, elle me connaissait depuis la terminale. Pour faire court, je l'avais connu par intervalle de Ino. J'ai dû déménager suite au travail de mes parents et nous étions revenus à Konoha. Mon père faisait partit d'une unité importante de soldat militaire. Dès qu'on lui trouvait une mission, il était contraint de se déplacer et ma mère le suivait et moi avec. J'étais ravie d'avoir reprit contact avec mes anciens amis en terminale. La grosse majorité, se tournait vers des études approfondis pour devenir militaire ou encore un membre important de la cité, moi avec.
L'université Konoha, en bref, était l'académie pour des élites. Le nombre de candidat voulant s'y inscrire, était longue. En revanche, pour être admit, il fallait y passer plusieurs concours. Le premier, consistait l'épreuve physique. Le second, la culture générale. Pour terminer, un entretien en face de plusieurs professionnels, qui enseignent et travaillent en même temps sur le terrain. Invraisemblablement, ceci fonctionnait comme un concours d'entrée pour devenir un joueur professionnel dans une équipe de foot. Or, ici, c'était plus compliqué. Après tout, l'épreuve physique, s'était basée sur des combats avec d'autres candidats puis une journée entière dans la forêt, pour analyser nos compétences de survie et j'en passe.
Il existait plusieurs fractions dans l'académie. Ceux qui s'aspiraient à être simplement des espions, des gardes du corps, de futurs soldats se chargeant à secourir la vie d'autrui en dehors de la cité Konoha – comme mon père - , ceux qui s'occupaient de la diplomatie, ceux qui voulaient devenir instituteurs tout en travaillant à coté - , ...
De mon coté, je ne savais pas encore ce que je voulais devenir. Peut-être espionne. Ou peut-être comme mon père, un genre de héro. Mes idées étaient encore vague mais bon, j'avais encore deux années avant d'obtenir mon diplôme. J'avais donc une marge avant le jour décisif. Pour le moment, tout étudiant suivait le même cursus. Ce ne sera seulement que en dernière année, que on choisira ce que on veut devenir. Et tout sera approfondit, avec des stages d'immersions plus réguliers. En effet, dès la première année, on avait aussi des stages. Toutefois, on n'en avait que six semaines à effectuer. Dont deux semaines en mai – ce que j'avais déjà passé avec d'autres camarades de classe - , deux autres en août puis pour finir en mois de décembre.
Sakura libéra mes joues, dorénavant rouges et endolories. Je me les masses en ronchonnant, ignorant son commentaire comme quoi je ressemblais limite à un hamster. Là, je ne savais pas pas trop comment le prendre... bien que si elle rigolait, c'était gentil. Hinata me considérait, inquiète pour moi.
— Sérieux, faudrait te trouver un mec bien, (T/P). Ou une meuf, n'importe. Il te faut mettre en couple !
— Quoi ?? M'esclaffais-je, choquée en regardant Ino. Tu rigoles ?! C'est mon porte-monnaie qui va souffrir de notre rupture !
— Tu es radine ? Demanda Tenten, stupéfaite.
Je la considérais, très sérieuse.
— Nan, je m'achète ce qui me donne envie. Tu imagines partager en deux mes dépenses juste pour mon moitié ? Ah putain, non ! Jamais !
— Pourtant ça ne te dérange pas de t'acheter de la bouffe.
— Oï ! La stoppais-je en levant ma main en la dévisageant. Que ce sois clair là-dessus ; mon amour pour la bouffe est plus titanesque que l'amour de Naruto pour les ramens !
— ...J'ai un doute la dessus. Intervint Hinata avec un rictus amusé.
Horrifiée, je me tourne vers la noiraude qui se mit à glousser. Je ne rêvais pas, elle s'était exprimé si directement et sans avoir la moindre gêne. Mon amie qui était du genre à rester en retrait, à bégayer et à être si timide. Franchement, sur ce coup là, elle m'a bluffée. Et on sait toutes que Hinata était amoureuse de Naruto. Il fallait être aveugle pour ne pas le remarquer.
Des timbres de voix plus masculines passaient non loin de nous. Tout en marchant sur les dalles en pavés, un groupe de garçons. En premier lieu, Naruto Uzumaki. Petite, je me souviens vaguement de son histoire. Un orphelin qui plus, était soit-disant « maudit ». Un bon nombre de personne le fuyait, l'abandonnant dans une profonde solitude. Malheureusement, je n'ai pas eu la chance de le rencontrer en face. En terminale, il me semblait super sociable, souriant et plein d'énergie. Tant mieux. Je détestais tellement la discrimination... Ensuite, à coté de lui, un brun, avec des symboles rouges aux joues. Lui, il s'agissait de Kiba, toujours accompagné de son chien en dehors des cours – il était tellement grand aussi - ensuite, il y avait le petit-ami de Ino, Saï toujours avec un sourire aux lèvres, détendu. Derrière, le disciple préféré de Gaï-sensei ; Rock Lee, facilement repérable avec ses gros sourcils et sa coupe au bol noir comme son maître, suivit par Neiji Hyuga, le cousin de Hinata puis Choji, le garçon plutôt développé – je n'aimais pas employer le terme ' gros ' - et en dernier rang, Shikamaru, en train de bâiller un bon coup, une main restant dans la poche de son jean.
Le meneur du groupe nous aperçus et leva son bras droit, avec un sourire rayonnant.
— Hé ! Salut les filles ! Sakura-chan ! Nous salua vivement Naruto. Qu'est-ce que vous faîtes de beau -dattebayo?
— A ton avis abrutit ? On se repose ! Lui répondit Sakura avec un sourire, après s'être rassit à coté de Ino.
— N-Naruto-kun... Souffla timidement Hinata, bien qu'elle parlait plus à elle même que pour le concerné.
— Ah ! Y a Hinata ! Puis (T/P) !
Ino roula des yeux.
— Et moi et Tenten, on est inexistante.
— Ah, désolé, désolé.. Rit doucement Naruto en s'avançant vers nous, traversant le gazon avec ses potes.
— Tu es toujours aussi resplendissante, Sakura ! Lui complimenta Rock Lee en levant son pouce en haut, le sourire jusqu'aux dents. Une petite étincelle s'y échappait de son clin d'oeil.
Putain. Instantanément, moi et les autres – excepté Hinata – on frissonnait de dégoût. Sakura se retrouvait blême et se ravisa très vite, gênée par cette situation, bien qu'elle remerciait tout de même ce compliment. Rock Lee, quand il était amoureux, il ne faisait pas les choses à moitié. C'était flippant.
Je vous explique le gros bordel. Naruto a un crush sur Sakura. Sauf que Hinata est amoureuse de lui et il ne l'a toujours pas remarqué ce pauvre idiot. Rock Lee est fou amoureux de Sakura. Sauf que Sakura aime Sasuke. Or, Sasuke le the bad boy, n'en a cure d'elle et la fait tourner en bourrique et Karin le drague et traîne dans sa bande avec Jugo et Suigetsu.
Maintenant qu'il y avait un peu plus de monde, je soupirais, abattu. Je ne me montrais sociable que avec ceux que j'avais envie. Si on m'entourait trop, je me détachais facilement. Allez savoir pourquoi, visiblement, je faisais partie du groupe des populaires du campus. Il y avait des catégories niveau popularité. Déjà, ceux qui fumaient, qui se prenaient pour des Rois et des plus forts – où Sasuke Uchiwa s'y trouve, par exemple et il me semblait même que certains se drogues et se bagarrent pour élargir leur territoire – puis ceux qui sont tranquilles, sociables, qui sont joueurs et respectaient tout le monde, en bref, des gens chics, où je me trouvais quoi.
Les autres papotaient et je me levais, passais un coup rapide sur mon pantalon cargo à plusieurs poches de couleur (couleur pantalon au choix) pour retirer les brins d'herbes qui y sont restés. Je passais ensuite ma main sur mes cheveux (ou crâne si chauve) (rasés/courts/mi-longs/longs) et m'étirais. Mes articulations craquèrent, après leur petite sieste. Je sentais un regard posé sur moi et je plissais de suite mes yeux (c/y) et me tournais vers une personne en particulier. Je rêvais ou bien il me reluquait ? Avec un air complètement désintéressé à la fois ? Ça devenait presque flippant.
— Qu'est-ce que tu mates comme ça, Shikamaru ?
— Hé, ne sois pas aussi agressive. Tu es juste sur mon champ de vision. Me répondit ce dernier, tout en gardant son expression ennuyée.
Je le dévisageais sévèrement. Mes sourcils se froncèrent et je levais mon majeur, de profil à lui.
— Quel dommage que je sois dans ton champ de vision ! Si je me tourne à quatre-vingt dix degré, je suis convaincu que tu vas me mater.
— Qu'est-ce qui te le prouve ? Râla le noiraud en passant une main sur son crâne, les paupières closes.
— Va savoir. Mon corps divin ? Mes atouts ? Ma personnalité qui en jette ? Je le narguais avec un sourire moqueur.
— Corps divin ? Absolument pas, tu as de (pointe un défaut de ton physique au choix) et ton attitude est vraiment barbant. Tu es le type de personne avec qui je me fatiguerais de rester. M'exposa Shikamaru en me tournant le dos, ses mains rangées dans les poches de son pantalon.
La vérité faisait mal. Je grinçais des dents, blessé dans mon égo. Je refusais de me laisser être piétiné de la sorte par le mec le plus basé de la ville. Il avait peut-être un QI supérieur aux autres, ce qui le désignait comme étant un génie, toutefois, mon camarade de classe faisait des erreurs. Et dommage pour lui, j'avais ouïe par Ino, il avait fait des avances à une fille. Avec un sourire arrogant, je lui répliquais avec sarcasme :
— Pas la peine de me critiquer comme ça, pour quelqu'un qui s'est fait rejeté par Temari. L'année dernière.
Shikamaru se crispa. De suite, il fit volte-face, le visage rouge cramoisie, les sourcils froncés. Il était prit au dépourvu, ne s'attendant pas du tout à ce que je sache ceci. Sa mâchoire se contractait et ses poings étaient serrés. Ses phalanges rougissaient sous la pression qu'il y émettait. Je devinais que mon camarade de classe grinçait des dents. De suite, emporté par ce sentiment de supériorité, du simple fait qu'il se retrouvait écrasé par moi, je continuais.
— Tu aimes les femmes forte et autoritaire, hein ? Aussi plus âgées ?
Ferme-la. Arrête-toi ici. S'insurgea ma conscience, qui tenait à rester un minimum raisonnable. Il était vrai que ma franchise dépassait les bornes. Mais s'il y avait une chose que j'évitais de faire, c'était de jouer avec les sentiments des autres. Sauf en cas de nécessité. Ici, dans ce cas de figure, j'avais agis comme une conne.
Je m'étais comporté comme une sale manipulatrice pour avoir le dessus. Très vite, je m'inclinais et m'excusais de lui avoir sortit ceci et me préparais à quitter la bande pour retrouver un espace calme et désertique. En m'éloignant, j'ai cru l'entendre pester comme quoi les filles sont chiantes. En une fraction de secondes, je sentais mon coeur se contracter douloureusement dans poitrine. Je me mordais les lèvres pour éviter d'exploser en public. Je n'ai récolté ce que j'ai semé. Il fallait assumer ma connerie. Même si c'était avec des remords que je partais.
Au final, le seul lieu que j'ai pu me trouver, était la salle de classe. J'étais au deuxième rang, coté fenêtre. J'avais accès à une partie du campus, depuis le troisième étage. Le soleil, déposait ses rayons dans la salle, éclaircissant tout ce qui s'y trouvait, mon visage avec. Ma peau (c/p) chauffe doucement et j'enfouis ma tête dans mes bras croisés, mes oreilles de nouveau occupées par mes morceaux de musique. Je vins même à m'assoupir sur mon propre bureau.
Un voile noir m'entourait. Tantôt, je me retrouvais pas loin de mon ancien lycée, en train de faire mes devoirs sur un banc, seule, à l'extérieur. Le temps était dégagé. Une silhouette se rapprochait de moi. Tout son corps était noircie. À la place des yeux, un x coloré y était remplacé et un sourire y était en fluo. On aurait presque dit que c'était un glitch tellement, il ne restait pas stable, qu'il y avait une sorte de défaillance pas net. Dès lors que cette « chose » prit parole, mon corps fut paralysé. Mes yeux s'arrondissaient. Mon rythme cardiaque s'accélérait et mes pupilles rétrécissaient.
Va t'en. Disparais. Je ne veux plus te revoir. Je ne veux plus.
Il tendait sa main vers moi. Je tremblais comme une feuille, paniquée. J'aimerais tellement te faire aussi du mal par derrière. Te commettre la pire des souffrances. Tu n'imaginais même pas à quel point les scénarios je voulais te faire vivre. Je voulais tellement te massacrer. Alors pourquoi mon corps refusait de bouger comme je le voulais ? Je crains.
Dès lors que je fermais mes yeux, je sentis une vive douleur à ma joue. De suite, j'étais sortit de ce cauchemars, de retour à la vie réelle. Je papillonnais des paupières, essayant de m'habituer aux rayons du soleil en plein visage. Mes yeux étaient larmoyant et ma respiration était saccadée. Ce qui me pinçait la joue se retirait.
— ...Oï, je t'ai fais si mal que ça pour que tu pleures ? S'inquiéta une voix familière.
Des larmes s'échappaient de mes yeux. Je sentais ma gorge se nouer et une douleur désagréable se manifestait dans mon ventre. Je me redressais, n'arrivant pas à me reprendre. Je sentais que ce flot qui fuyait de mes glandes lacrymales s'amplifiait. Mon nez se bouchait avec cette fichue morve qui menaçait de couler de mes narines. J'avais honte. Honte de pleurer devant quelqu'un. Je m'étais promis de ne plus être dans cet état devant une personne.
Je me sentais tellement pitoyable.
— Ahh la galère, écoute, je suis désolé d'avoir pincé ta joue ! Mais tu gémissais en dormant ! S'expliqua la voix masculine.
Mes iris étaient embrumés de mes larmes. Je me retenais difficilement de hoqueter. Je n'avais qu'une envie ; c'était d'aller me noyer dans l'eau, me laisser être immergé et disparaître dans les profondeurs de l'océan. Soudain, devant moi, un mouchoir. Sans protester, je le prit en remerciant faiblement l'individu, bien que j'avais déjà une idée de qui il pouvait s'agir. J'essuyais dans un premier temps mes larmes.
— (T/P). Tu as de la morve qui coule.
À la vitesse de la lumière, je me mouchais, morte de honte. Mon visage devint rouge. Une fois calmée, je relevais timidement ma tête et vit le jeune homme tirer la chaise en face de mon bureau et s'y posait, ses bras, croisés, sur le dossier. Il me fixait intensément avec ses orbes marrons foncés – voire onyx, comme la pierre –. Un frisson se parcourait dans tout mon échine et je sentais mes poils aux avant-bras se hérisser. Shikamaru Nara était vraiment différent des autres garçons que j'ai connu. Un naturel lymphatique, toujours blasé et ne se concentrait rarement sur les cours. Désintéressé de tout, ne dévoilait pas si facilement ses atouts et son QI supérieur à deux cent. Il traînait souvent avec son ami Choji Akimichi et il me semblait même que ça provenait du lien entre leur famille.
Shikamaru avait des cheveux noirs hérissés attachés en arrière par une sorte de bande grise. Tout le temps, il portait une boucle d'oreille à chacune d'elles, argentée. Régulièrement, le noiraud était vêtu d'un tee-shirt qui ressemblait à une cotte maille, puis d'une chemise par-dessus kaki avec les manches retroussées, un jean noir avec des baskets de marque. À son poignet, une montre noire qui n'était pas cher dans des boutiques, qui avait l'option de chronométrer en plus. Je me sentais être déshabiller du regard, ce qui m'obligeais à détourner mon regard de ses iris sombres. Je supposais même qu'il haussait un sourcil, à ma réaction relativement distante.
Un silence gênant s'installait entre nous. Seule la musique qui s'échappait d'une de mes oreillettes, qui avait je ne sais comment, quitté mon oreille, redonnait un peu de vivacité. L'attention de mon camarade de classe se posait sur mon accessoire qui était sur mon bureau.
— Tiens, ce ne serait pas (ta musique préférée) par hasard ? Me demanda t-il.
— ....Si.
— Tu as bon goût.
Son avis me fit rougir.
— Tu es sûre que tu as bien retiré ta morve ? Me lança Shikamaru avec un rictus amusé.
— Q-QUOI ?! M'écriais-je, outré, avant de vite me moucher de nouveau. Mais pourtant, rien de dégueulasse n'y était resté ! Je recommençais une énième fois et je me stoppais dès que le noiraud se mit à ricaner bêtement en face de lui.
Enfoiré.
— C'était salaud de ta part. Je lui grognais en baissant le mouchoir.
— Non, ça te change les idées. Sourit-il en en plaçant son bras par dessus le dossier de la chaise, plaçant sa joue sur la paume de sa main. Ça va mieux après ton cauchemars ?
Merde, c'était vrai que j'avais pleuré devant lui comme une victime. Je grimaçais et frottais mes yeux. Avec une voix étranglée, je lui admettais que oui. Shikamaru plissa ses yeux, me scrutant un moment avant de soupirer. Depuis que je le connaissais, j'avoue qu'on n'avait jamais été si proche que ça. Le simple fait qu'il ait découvert mon coté hyper sensible me paraissait humiliant. Certes, mon camarade de classe n'était pas un cafteur, néanmoins, je tenais à garder mon image de femme forte.
Je n'étais plus la petite innocente et fragile fille du passé.
— Ne dis pas aux autres que j'ai pleuré, ok ?
— Pourquoi ?
— Je ne veux pas être consolé ni être le centre de l'attention.
Rapidement, j'appuyais sur une touche de l'écran de mon portable, arrêtant la musique. Je retirais mon oreillette de mon oreille et la posais sur mon bureau. Le regard de Shikamaru ne se détachait pas de moi et je fronçais des sourcils et le dévisageait méchamment. J'espérais pas qu'il irait en tirer profil ou qu'il me ferait du chantage pour obtenir quelque chose. Sinon, je pense que j'irais le castrer.
...Il me semblait être ennuyé. Je me figeais et écarquillais mes yeux (c/y).
— Juste pour ça ? Tu es humaine. Tu as le droit de craquer des moments. Je ne vois pas où est le problème. Me clarifia Shikamaru, nonchalamment.
— Le problème, c'est que tu as vu ma facette sensible. Sifflais-je.
— Oh, désolé pauvre bichette, je n'aurais peut-être pas dû te sortir de ton vilain cauchemars avant que les autres ne débarquent et te voient en larmes.
Cette désignation me semblait déroutante. Ensuite, il osait me mentionner une bonne action de sa part. Je tiquais de ma langue et m'adossais correctement à ma chaise en lui lançant un regard noir.
— Ne m'appelle pas ma bichette, on est pas proche.
— Je me disais que tu as une vision particulière pour les chèvres et un coté thug. C'est la mode chez les jeunes. Alors tu dois aimer ce surnom.
Pour le coup, j'avais pouffé à cette remarque pertinente.
— Pfft. Et toi tu es trop vieux et tu essaies de suivre la mode ?
— Quelle galère, les attitudes des jeunes. Et puis bon, il n'y a pas une journée qui passe sans que tu utilises le mot « chèvre ». Me désigna t-il en faisant un geste avec ses doigts pour le entre guillemet.
— Pas faux, bien vu. Souriais-je avec un rictus. Mais ce n'est pas pour autant que j'apprécierais le surnom.
— Hmm. Ouais, ce serait ennuyeux. Admit-il en se redressant.
Je le jaugeais, perplexe. Il ne semblait pas tant se soucier de mon coté sensible. Shikamaru se détachait de mon regard, se tournant vers la fenêtre, observant silencieusement le ciel et les nuages qui sont enfin apparus après un long moment de disparition. Je l'imitais. Puis, doucement, je me rappelais du fait que le noiraud était vraiment quelqu'un de cool, qui n'aimait pas trop le bruit, préférant être dans un lieu calme. Parfois, je me demandais comment il faisait pour rester avec Naruto. À coté, le blond était une vraie pile électrique, incapable de rester sans rien faire.
Hésitante, je pivotais finalement ma tête pour lui faire face.
— ...Hé Shikamaru ?
— Hm ?
— Pourquoi tu es venu ici ? Tu avais oublié quelque chose ou bien ?
Il se raidit. Shikamaru passa une main à sa nuque, fuyant mon regard interrogateur.
— Ouais... quelque chose du genre. Dit-il vaguement.
— Ou... c'est parce que.. tu voulais me voir ?
Il sursauta et j'eus les yeux ronds. Il me regarda en face, dérangé, les joues, rouges. Étrangement, j'avais l'impression d'avoir touché une corde sensible. Que j'avais visé juste. Je restais abasourdis.
— Non ! Absolument pas ! Où tu vas chercher de telles bêtises ?!
— C'est suspicieux ta réaction...
Je constatais aussi qu'il était plus réactif. J'esquissais un sourire après l'avoir vu grogner et me tourner le dos, croisant ses bras derrière sa tête.
— Crois ce que tu veux. Mais ce n'est pas du tout ça !
— Si tu le dis. Rigolais-je doucement, en décidant de le laisser tranquille sur ça. Mais... merci et désolé à la fois. Je m'étais emporté tout à l'heure.
— Je sais. Tu n'es pas une mauvaise personne. Tu te contrôle pas assez quand tu es vexé, comme Ino. M'expliqua t-il simplement, en jetant un œil vers la fenêtre.
À travers le verre, il percevait également nos reflets. J'avais la tête baissée et ma tête se relevait pour le regarder, surprise. Mine de rien, ce gars était vraiment cool. Je rougissais légèrement et passais une main sur ma nuque. Une pensée assez tordue me vint à l'esprit et étant franche parler, je lui fit part de mes pensées.
— Dis-moi... tu.. trouves que les filles sont compliquées ? Chiantes ?
— Ouaip. Me confirma t-il aussitôt.
— Et moi ?
— Tu es à un niveau au-dessus de mes estimations. Me classa t-il en levant ses yeux vers le plafond.
Quelle gentillesse. Je croisais mes bras et esquissais un sourire. Il semblait le remarquer avec mon reflet et se retourna pour me regarder par dessus son épaule.
— Ah ! Je suis une goat.
— ...Quoi ?
— Ca veut dire que je ne suis pas au même rang que les autres filles. Je suis une putain de goat. Juré, c'est putain satisfaisant de le savoir de ta propre bouche ! Balançais-je fièrement, stupidement à la fois.
Shikamaru me regardait comme si j'étais la dernière des imbéciles sur Terre. Son expression réussit à me faire exploser de rire. Sans doute il devait me percevoir comme une folle. Honnêtement, je n'en avais rien à foutre. Je me sentais étonnamment détendue. Libéré d'un poids sur mes épaules. Je continuais de me marrer, dans mon propre délire, que le noiraud m'examinait un instant et me sortit quelque chose qui sut de suite m'arrêter.
Et son commentaire, m'avait surtout, surprise.
— Je préfère te voir rire et sourire.
Mon coeur se mit à marteler violemment contre ma cage thoracique. Mes orbes (c/y) s'arrondissaient et je sentis mes joues s'enflammer. Il était la première personne, qui m'avait sortit ces paroles.
Soudain, quelqu'un vint interrompre notre échange, après avoir toqué légèrement à la porte. Shikamaru et moi avions tournés notre attention vers le perturbateur. À l'encadrement, se tenait Asuma Sarutobi, un enseignant de l'université. Ce dernier, avait des yeux marrons, des cheveux courts et hérissés noirs, une barbe. Ses vêtements étaient composés de l'uniforme standard des soldats de Konoha avec les manches enroulées de moitié, un gilet de protection, de bottes noires et un bandeau frontal avec le symbole de Konoha dessus. Il portait également un genre de tablier, ci-dessous, inscrit le kanji pour le « Feu », autour de la taille. Puis des bandages enroulés autour du bras sur les manches. Entre ses lèvres, une cigarette allumée. De la fumée s'y échappait au bout. Il avait un large sourire et il nous observait attentivement.
— Si ce n'est pas mon élève favoris avec (T/P) ! Pour une surprise, ça en est une !
Je m'étonnais. Shikamaru était le favoris de Asuma-sensei ? Je me tournais vers lui, ahurie.
— J'interrompais quelque chose ? Rajouta Asuma sur un ton moqueur. Vous étiez presque rouges vous deux !
— Vous n'interrompez rien. Soupira Shikamaru en fermant ses yeux.
— Ah oui ? Et ce compliment tout juste sortit pour (T/P) ?
Shikamaru sursauta et rouvrit instantanément ses yeux et se leva brusquement de sa chaise, claquant sa main sur le bureau qui ne lui appartenait pas. De mon coté, j'optais sur l'option de garder le silence. C'était déjà assez gênant comme ça.